Cette galerie contient 23 photos.
Initialement publié sur A l'Aventure et Au-Delà… :
Andy Goldsworthy est un artiste britannique qui joue avec des matériaux naturels : la neige, la glace,…
30 jeudi Mar 2017
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inCette galerie contient 23 photos.
Initialement publié sur A l'Aventure et Au-Delà… :
Andy Goldsworthy est un artiste britannique qui joue avec des matériaux naturels : la neige, la glace,…
30 jeudi Mar 2017
Posted Insolite
inLes boutiques de sous-sols sont une particularité de Sofia, la capitale de la Bulgarie. Les échoppes « klek » (klek signifie genou) se trouvent en sous-sols, et possèdent une fenêtre qui donne sur le trottoir. Les produits sont étalés en dehors de la boutique, sur les murs extérieurs, et les clients doivent s’agenouiller pour parler au vendeur et procéder aux achats. L’histoire des kleks a démarré il y a plus de 20 ans, après la chute du communisme, lorsque des entrepreneurs ont développé cette façon de faire. La plupart de ces boutiques sont ouvertes 24h sur 24, 7 jours sur 7. Mais ils ont désormais tendance à disparaître…
Photographies de sograph/Flickr
via (cliquez pour voir d’autres photos)
28 mardi Mar 2017
Posted Histoire
inÉtiquettes
Les Aïnous (アイヌ?, « a.i.nu », qui signifie « humain » en aïnou), aussi appelés Utari (ウタリ?, qui signifie « compagnon »), constituent une population aborigène vivant dans le Nord du Japon et à l’extrême Est de la Russie. Morphologiquement, les Aïnous non-métissés ne ressemblaient pas aux Japonais. Leur morphologie rappelait celle des Aborigènes d’Australie, ils étaient en moyenne plus grands que les Japonais, leur carrure et pilosité étant plus affirmées, leur peau plus claire, leurs visages moins lisses, leur arcade sourcilière plus développée, et leurs yeux n’étaient pas bridés.
Les femmes aïnous se tatouent dès la puberté, sur les bras, la bouche, la lèvre supérieure, la vulve et parfois, le front. Elles utilisent aussi de la suie pour donner de la couleur à leur visage. Et sur leurs lèvres, cela donne un résultat impressionnant.
photographies via
27 lundi Mar 2017
Étiquettes
Les paysages norvégiens sont assez incroyables. Raison de plus pour en profiter avec ce chouette time-lapse qui nous offre toute une année de nature. Réalisé par le photographe Morten Rustad sur une période de deux ans et demi, il nous fait voyager sur 20.000 kilomètres. Plus de 200.000 photographies ont été prises, et cela aura pris plusieurs mois d’édition, mais cela en valait la peine.
27 lundi Mar 2017
Posted Arts et graphisme, Insolite
inÉtiquettes
C’est au milieu d’un vignoble sud-africain que l’on trouve cette chapelle moderne, imaginée par le Studio Steyn, en collaboration avec TV3 Architects. La chapelle Bosjes se caractérise notamment par son admirable toit ondulé, un hommage aux maisons historiques du Cap. Ces ondulations, qui se reflètent dans un bassin d’eau, s’intègrent parfaitement dans leur environnement, que l’on peut d’ailleurs admirer grâce aux fenestrations abondantes. La structure du bâtiment est aussi légère que possible, car le toit sert également de murs et colonnes, pour se soutenir lui-même.
27 lundi Mar 2017
Étiquettes
Les Selknam, aussi appelés Selk’nam, Shelknam ou Onas, forment un petit peuple amérindien disparu depuis le milieu du vingtième siècle. Ces chasseurs nomades habitaient la Grande Île de Terre de Feu. Ils étaient chasseurs et cueilleurs et vivaient principalement du guanaco qu’ils chassaient avec de petits arcs et des flèches à pointe en pierre. En plus du guanaco, ils s’alimentaient de divers autres animaux : pinnipèdes, manchots, cétacés, mollusques, crustacés et cormorans. Ils consommaient aussi en abondance un champignon parasite du Nothofagus, le Cyttaria. En 1905, il ne restait plus que 500 Selknam sur une population estimée à 4000 en 1880. Quelques-uns furent pris en charge et survécurent auprès de missions salésiennes de Terre de Feu, où ils furent sujets à des épidémies à la suite de maladies contractées auprès des colons.
L’une des cérémonies les plus importantes des Selknam, le « hain », tenait au passage à l’âge adulte. Les hommes adultes étaient peint de noir, rouge et blanc, et portaient masques et fourrure pour personnifier les esprits tant redoutés. Pendant plusieurs jours, le complexe rituel d’initiation permettait d’amener les jeunes garçons à l’âge adultes. L’une des dernières cérémonies s’est tenue en 1920, et a été immortalisée par le missionnaire Martin Gusinde. En voici quelques photographies.
via (cliquez pour voir d’autres photographies)
27 lundi Mar 2017
Posted Arts et graphisme
inÉtiquettes
Que de délicatesse dans la confection de ces objets…
Un grand merci à Nathalie pour la suggestion!
20 lundi Mar 2017
Posted Arts et graphisme
inLes parapluies en papier huilés sont extrêmement anciens en Chine. La technique de fabrication a d’ailleurs été reconnue comme patrimoine culturel immatériel à l’échelon national depuis 2008. De nos jours, il s’agit d’un art qui se perd, et seuls quelques artisans savent encore maîtriser les techniques…
06 lundi Mar 2017
Posted Nourritures terrestres
inÉtiquettes
Parfois, on a le droit de jouer avec la nourriture. Surtout quand le résultat est impressionnant. Le Japon a d’ailleurs une tradition en la matière, que l’on appelle mukimono, et que l’artiste Gaku manie à la perfection. La contrainte principale dans le domaine, outre la nécessaire dextérité, réside en la rapidité avec laquelle il faut travailler les fruits et légumes, faute de quoi ils s’abiment rapidement à cause de l’oxydation. Ses créations se font ainsi en quelques minutes. Et ensuite, il les mange :).
05 dimanche Mar 2017
Posted Musique
inLe groupe islandais Árstíðir sait reconnaître une bonne acoustique quand il se promène. C’est en revenant d’un concert à Wuppertal, en Allemagne, qu’ils se sont rendus compte que la gare offrait une sonorité tout à fait sympathique. Alors que leur registre se situe plutôt dans le pop-folk, ils ont entonné un chant islandais du 13ème siècle, « Heyr himna smiður » (Entends, artisan des cieux) de Kolbeinn Tumason. L’effet produit est saisissant.