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Curiosités de Titam

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Curiosités de Titam

Archives de Tag: Baroque

La dernière guitare Stradivarius au monde

09 mardi Fév 2016

Posted by mademoiselletitam in Histoire, Musique

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17ème siècle, Baroque, instrument de musique, Stradivarius

Cette guitare a été créée en 1679 par Stradivarius. On l’appelle « Sabionari », et elle est encore plus rare que les violons créés par le célèbre luthier italien. Non seulement il en a fait très peu, et la Sabionari est la seule qui puisse encore être jouée aujourd’hui. Dans la vidéo ci-dessous, le guitariste baroque Rolf Lislevand joue cette guitare (restaurée par les luthiers Daniel Sinier, Francoise de Ridder, et Lorenzo Frignani), en interprétant la « Tarentela » de Santiago de Murcia.

L’instrument possède son propre site Internet, où l’on peut voir de nombreuses photographies et d’autres interprétations musicales.

Ci-dessous, Krishnasol Jiménez, un guitariste classique, interprète une suite d’Angelo Michele Bartolotti.

via

C comme contrepoint

29 dimanche Sep 2013

Posted by mademoiselletitam in Musique

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Bach, Baroque, Contrepoint, Zygel

Une explication lumineuse de Jean-François Zygel.

Saints: méfiez-vous des contrefaçons

08 dimanche Sep 2013

Posted by mademoiselletitam in Histoire

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art funéraire, Baroque, mort, Relique, Saint

Les reliques de saints catholiques sont souvent présentées au sein de reliquaires plus ou moins ostentatoires. Dents, bouts de tibia, morceaux de crâne, un os entier pour les plus fortunés, ces objets sont vénérés d’église en église, et c’est à celle qui s’enorgueillira de détenir le plus grand nombre d’ossements dont la provenance est plus ou moins trouble.

Certaines églises peuvent se péter les bretelles plus que les autres, parce qu’elles ont un squelette entier. Et tant qu’à y être, décoré comme un camion volé. Car voyez-vous, si la religion doit officiellement faire preuve d’humilité, dans les faits, c’est à qui aura la plus grosse (ornementation).

St Valerius in Weyarn: Art historian Paul Koudounaris hunted down and photographed dozens of gruesome skeletons in some of the world's most secretive religious establishments
L’église de Weyarn en Bavière (un des fers de lance de la Contre-Réforme) renferme une jolie relique de Saint Valère, exemple parfait de la mort baroque.

Au 16e siècle, des centaines de squelettes furent exhumés des catacombes romaines et envoyés à droite à gauche en Allemagne, Autriche et Suisse, dans le cadre de la Contre-Réforme. En effet, parce qu’il n’y a rien de mieux qu’une relique pour regagner le cœur des fidèles, le Vatican a éparpillé -façon puzzle- ce qu’il avait sous la main pour remplacer les reliques détruites par les protestants.

St Benedictus: Thousands of skeletons were dug up from Roman catacombs in the 16th century and installed in towns around Germany, Austria and Switzerland on the orders of the Vatican

Saint Benoit. Ou pas. La plupart de ces reliques ne proviennent pas vraiment de saints, enfin, pas au sens officiel de l’Église. Le Vatican s’est contenté d’émettre des certificats de sainteté à des ossements extraits des catacombes et envoyés vers le nord.

Saint Déodat (ou Dieudonné, c’est pareil), église de Rheinau en Suisse.

L’un des Gardes Suisses du Vatican, le Capitaine Johann Pfyffer, a ainsi disséminé 25 « saints » dans son pays natal au 17e siècle. Pas question de les vendre, c’eut été un péché mortel.

St Getreu in Ursberg, Germany: Mistaken for the remains of early Christian martyrs, the morbid relics, known as the Catacomb Saints, became shrines reminding of the spiritual treasures of the afterlife

Saint Getreu à Ursberg, Allemagne. Celui-ci a été reconstruit avec de la cire.

Comme il n’y avait pas de noms au-dessus des squelettes dans les catacombes, on leur a donné des noms un peu passe-partout: Saint Felix (heureux), Saint Constant, Saint Innocent… Et même Saint Incognitus. Faut dire, en latin, ça fait plus chic.

St Friedrich at the Benedictine abbey in Melk, Austria: They were also symbols of the Catholic Church's newly found strength in previously Protestant areas
Saint Frédéric, Abbaye bénédictine de Melk, Autriche.

The hand of St Valentin in Bad Schussenreid, Germany
La main de Saint Valentin, Bad Schussenreid, Allemagne.

Au 19e siècle, ces reliques finirent par paraître un peu trop kitsch, et la plupart furent remisées loin des yeux du public. Ah, oui, évidemment, sans leurs bijoux.

Lounging louche: aSt Vincentus' ribs are exposed beneath a web of golden leaves In Stams, Austria.

Baissez les spots siouplé. Lounging louche: sous les feuilles d’or se cache la cage thoracique de Saint Vincent (Stams, Autriche).

Sources: ici, là, et là.

L’art de la Fugue: Gould interprète Bach.

02 lundi Sep 2013

Posted by mademoiselletitam in Musique

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Bach, Baroque, Fugue, Glenn Gould

Entre 1979 et 1981, le pianiste – mon héros – Glenn Gould a collaboré avec le violoniste, écrivain et réalisateur Bruno Monsaingeon dans le cadre d’une série documentaire. Dans les scènes ci-dessous, on peut voir Gould interpréter des mouvements de l’Art de la Fugue de Bach.

Gould joue ces morceaux alors qu’il ne lui reste que peu de temps à vivre, mais il ne le sait pas encore (il mourra d’une attaque le 4 octobre 1982). L’Art de la Fugue est, également si on peut dire, une œuvre inachevée. Bach aurait commencé son écriture aux alentours de 1740 ou 1742 (la première version de l’œuvre a été recopiée vers 1745), et l’a poursuivie jusqu’à sa mort, en 1750 (d’une attaque, lui aussi). Cette première version contenait alors 12 fugues et 2 canons. La seconde version publiée après la mort de Bach, en 1751, contenait 14 fugues et 4 canons, mais cette version comporte des erreurs et des incertitudes dans l’ordre des contrepoints : lorsque Bach mourut en 1750, la gravure n’était pas terminée et l’édition a été supervisée et achevée par son deuxième fils, Carl Philipp Emanuel Bach.

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Vendredi Baroque: Haendel – Son nata a lagrimar (Giulio Cesare)

17 vendredi Sep 2010

Posted by mademoiselletitam in Musique

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Baroque, Haendel

Bon, j’vous la fais courte, déjà parce que ça fait un bail que je n’ai pas fait de vendredis baroques, et que je me sens un peu morveuse sur ce coup-là, et qu’en plus cet air est tellement beau qu’il se suffit à lui-même. Comme quoi, on trouve toujours des trésors dans la production massive du sieur Haendel. Écoutez-moi ça, et dites moi que cela n’est pas une merveille baroque, capable de vous tirer une larme rien qu’à l’écoute. Sans rien connaître de l’histoire, (l’air est tiré de l’opéra Giulio Cesare in Egitto) on comprend tout de suite que ces deux personnages (une mère, Cornelia, et son fils, Sextus) sont dans une sombre panade, et ne savent ce qu’ils adviendra d’eux. « Je suis née pour pleurer / je suis né pour soupirer » est un duo parfaitement équilibré, délicat, expressif, bref, une perle.

Vendredi baroque: Bach – Cantate BWV 35 « Geist und Seele wird verwirret »

13 vendredi Nov 2009

Posted by mademoiselletitam in Musique

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Andreas Scholl, Bach, Baroque, Cantate

La cantate Geist und Seele wird verwirret date de 1726 (Bach est à Leipzig depuis 3 ans) et est destinée au douzième dimanche après la Trinité. Elle se compose de deux parties encadrant le sermont; la vidéo vous donne à entendre la symphonie qui ouvre la deuxième partie. Cette cantate est une parodie d’un concerto pour violon ou hautbois datant de la période de Cöthen, et dont nous est parvenue une version pour clavier, incomplète, puisque nous n’en connaissons que les 9 premières mesures. Cette seconde symphonie utiliserait le final de ce concerto BWV 1059.

Le rôle d’instrument concertant est réservé à l’orgue (je vous ai déjà dit que Bach était sans nul doute le plus grand organiste de son temps, non?). Dans les récitatifs, il sert d’ailleurs d’armature de la partie vocale, comme on peut l’entendre dans l’aria qui conclut la première partie « Gott hat alles wohlgemacht« , interprétée par mon comptable préféré, Andreas Scholl.

Vendredi baroque: Bach – Toccata et Fugue BWV 565

25 vendredi Sep 2009

Posted by mademoiselletitam in Musique

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Bach, Baroque, Fugue, Toccata

Attention, gros morceau. C’est l’air le plus connu de Bach. Difficile de dire quelque chose d’original sur ces deux pièces qui s’enchainent naturellement. D’abord, il faut savoir que Bach est un organiste fameux, le plus grand de son époque, et reconnu comme tel par ses contemporains. C’est ce qui lui a permis d’obtenir plusieurs postes, il fut appelé en divers endroits pour vérifier la qualité des orgues, et c’est son instrument de prédilection.

Pour Bach, la toccata est un merveilleux moyens de se hasarder aux limites techniques de l’instrument sans s’encombrer du formalisme des autres formats musicaux. La Toccata est sans pareil dans le répertoire de Bach pour les instruments à clavier. Si on ne sait pas exactement quand elle fut créée (entre 1703 et 1707 semble-t-il), on doute également parfois de son authenticité. Peter Williams, spécialiste britannique de l’orgue, a envisagé la possibilité que la Toccata en ré mineur n’ait pas été conçue à l’origine comme une œuvre pour l’orgue, mais serait l’arrangement d’une composition pour violon seul. Cela expliquerait une quantité de singularités, comme l’accumulation de traits et figures spécifiquement violonistiques. En même temps, comme Bach a intensément pratiqué le violon en même temps que l’orgue dans sa jeunesse, ce ne serait pas surprenant. Vous avez une transcription pour violon ci-dessous. De récents travaux musicologiques attribuent aussi l’œuvre à Johann Peter Kellner.

Je ne vais pas me lancer dans des considérations musicologiques approfondies sur la forme de l’œuvre. Bien sûr, je pourrais vous dire que la fugue est entièrement composée de quarts de soupir (des 16èmes de note si vous préférez), mais vous vous en battez certainement l’œil (comme moi d’ailleurs). Tout ce que je peux dire, c’est que c’est une œuvre fascinante à tous points de vue, qui me touche particulièrement (je me rappelle du 45 trs d’un certain Jean-Christian Michel quand j’étais petite, enfin, je crois que c’est son nom, on me corrigera à l’occasion) parce que c’est l’un de mes premiers souvenirs musicaux.

Entre la Toccata et la fugue, je préfère la fugue (à partir de 2’35 dans l’extrait ci-dessus, par l’excellent Ton Koopman). Peut-être à cause des harmonies superbes, de l’enchainement rapide des notes, je ne sais pas. J’aime ce morceau épicétout.

Vendredi baroque: Bach – Cantate BWV 72 « Alles nur nach Gottes Willen »

04 vendredi Sep 2009

Posted by mademoiselletitam in Musique

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Bach, Baroque, Cantate

Cette cantate BWV 72 (comme les trois autres de l’album) a été écrite pour le troisième dimanche après l’épiphanie, soit si vous connaissez un tant soit peu votre calendrier liturgique, correspond à la fin janvier, et donnée pour la première fois en 1726. Comme vous pouvez l’imaginer, à ce moment de l’année, il fait plutôt froid à Leipzig, surtout dans les églises, et les cantates de Bach sont donc un peu plus courtes, autant que faire se peut. La cantate en elle-même n’est pas extraordinaire, mais elle reste assez charmante, notamment pour son début.

Or donc, ce morceau d’ouverture qui nous intéresse aujourd’hui est un magnifique exemple de chœur introductif luxuriant, à la fois pour les chanteurs et pour l’orchestre. Les violons mènent la danse, dans un style concertant. Si l’on se penche sur le texte, qui loue la fois aveugle en dieu, on remarque que l’accent est mis sur le « Alles », répété et qui structure vraiment le chœur. Ce « tout » symbolise la soumission totale au dieu chrétien. Le reste n’est qu’accessoire.

Vendredi baroque:Bach – Cantate BWV 8  » LIebster Gott, wann werd’ich sterben? »

07 vendredi Août 2009

Posted by mademoiselletitam in Musique

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Bach, Baroque, Cantate

Cette cantate a été présentée pour la première fois le 24 septembre 1724 à Leipzig. Écoutez moi ce premier chœur de la cantate BWV 8 du génial Bach. La mélodie des deux hautbois d’amour accompagne les autres instruments à corde en pizzicato imitant le son des cloches pour les funérailles. Cette cantate, malgré son apparence joyeuse, est une cantate sur l’imminence de la mort. Son titre signifie « Oh Dieu bien-aimé, quand vais-je mourir?« .Le pizzicato, un peu à la manière d’un Vivaldi donne une touche très printanière à cette oeuvre.

Le mouvement initial est l’un des plus impressionnants de toutes les cantates du cycle annuel 1724. L’assise de ce mouvement est assurée comme toujours par la basse continue composée d’instruments à cordes (violoncelle et contrebasse) et de l’orgue. Au dessus se trouvent les premiers et seconds violons et les altos, un groupe qui semble comme refermé sur lui-même du point de vue motivique, superposés par les hautbois d’amour qui jouent en duo et la flûte qui se limite à de rapides répétitions de notes et à des coupures en accord. De plus, le cor ajoute une autre couleur instrumentale en doublant le cantus firmus à la voix de soprano.
Bach associe la seconde moitié du texte (Mein Zeit läuft immer hin) à une image musicale. Sa musique évoque une grande horloge. La basse continue, interrompue par des silences, ne souligne que le début et le milieu de chaque barre de mesure par des notes isolées (jouées pizzicato par les contrebasses), illustrant ainsi l’oscillation lente d’un lourd pendule. Les violons et les altos qui jouent avec des sourdines en staccato, imitent au moyen de leurs motifs sans cesse répétés de trois croches, le tic tac de l’horloge. Les étranges notes répétées rapidement à la flûte reproduisant musicalement le mécanisme mis en marche par l’avancement de l’aiguille des minutes.
Ce premier mouvement est dans une mesure à douze croches, un choix qui n’est pas fortuit mais qui a été plutôt fait pour illustrer le cycle de douze heures qui divise la journée. (Source)

Vendredi baroque: Rameau – La Poule

17 vendredi Juil 2009

Posted by mademoiselletitam in Musique

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Baroque, Clavecin, Rameau

Voilà un air tout à fait charmant, entraînant et moderne, que l’on trouve dans les Nouvelles Pièces de Clavecin, parues vers 1728. Cette suite s’appelle « La Poule », et vous aurez sans doute compris pourquoi en l’écoutant: on a tout simplement l’impression d’entendre une poule  caqueter, picorer, courir deci-delà de façon cocasse; d’ailleurs, l’animation postée ci-dessus l’a bien compris (et vous avez bien de la chance, parce que c’est la seule vidéo que j’ai trouvée de la version clavecin).

Mais, ce n’est pas que cela. « La Poule » est en effet, pour peu qu’on y prête l’oreille, plus dramatique et intense qu’il n’y parait. Oublions le Co co co co dai écrit sous la première ligne de la partition. Les passages tendus alternent avec des passages plus délicats. La course effrénée de la poule transcrite sur le clavecin n’est-elle pas la course de l’homme angoissé?

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