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Depuis Tchernobyl, Pripiat a été abandonnée. Étrange sentiment de survoler le silence…
10 mardi Mar 2015
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Depuis Tchernobyl, Pripiat a été abandonnée. Étrange sentiment de survoler le silence…
27 jeudi Nov 2014
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Alors qu’il visitait Tchernobyl dans le cadre d’un reportage pour l’émission 60 minutes de CBS, le réalisateur Danny Cooke a eu l’opportunité d’explorer la ville de Pripiat, désertée depuis la catastrophe de 1986. Une ville suspendue dans le temps, étrange et délicatement angoissante.
Musique: Promise land par Hannah Miller
07 mercredi Mai 2014
Posted Nature
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Si la nature en a pris un grand coup, elle trouve des moyens pour s’adapter. Enfin, elle essaye.
29 jeudi Août 2013
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Après l’explosion de la centrale, la ville de Pripyat a été abandonnée. Et peu à peu, la nature recouvre la zone. Ces photos aériennes le montrent bien.
La ville avait été créée en 1970. 16 ans plus tard, ses 50.000 habitants furent évacués.
La ville de Pripyat se trouve en haut à droite. Au centre, la centrale de Tchernobyl.
Une zone interdite a été créée autour de la ville pour empêcher les radiations d’atteindre trop de monde (version locale des nuages qui ne passent pas la frontière).
Selon les scientifiques, la zone ne sera pas habitable avant 20.000 ans. Mais quelques habitants sont revenus. Une poignée. Des touristes peuvent obtenir des pass d’une journée.
Sur une autre note, la faune y est particulièrement en bonne santé. Sans activité humaine, la zone, qui avait particulièrement souffert (guerre, industrialisation, etc.) est maintenant une réserve pour une faune diversifiée.
Loup, photographie prise dans la zone par Sergey Gaschak. D’autres photographies ici.
10 mercredi Fév 2010
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Cette ville, située à 2km de la centrale nucléaire de Tchernobyl, comptait 43 000 habitants jusqu’au 26 avril 1986, date du célèbre accident.
Il aura fallu trois jours aux autorités ukrainiennes et celles des pays limitrophes pour évacuer les résidents. Certains convois venus assister la population ne repartirent même pas.
Cette place fantôme, nimbée dans l’horreur du souvenir permanent, a laissé le terrain à la nature qui y a repris ses droits, entre verdure et moisissure.