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Voici le prototype d’une disquette Univac 9000 de 1966. Sa remarquable capacité s’étendait alors à 2.2 Mb. Mégabits. Un carte de 20 Gb est 10 fois plus petites de nos jours… Ah, la miniaturisation…
14 vendredi Oct 2016
Posted Informatique, Science
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Voici le prototype d’une disquette Univac 9000 de 1966. Sa remarquable capacité s’étendait alors à 2.2 Mb. Mégabits. Un carte de 20 Gb est 10 fois plus petites de nos jours… Ah, la miniaturisation…
30 lundi Nov 2015
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Pendant la colonisation française, Saigon fut d’abord la capitale de la Cochinchine, puis celle de l’Indochine française de 1887 à 1901. Après la partition du pays à la fin de la guerre d’Indochine, Saïgon devint la capitale de la République du Việt Nam (dès 1954). Pendant la guerre du Viêt Nam, Saïgon était le siège du commandement américain; son activité économique fut également dopée par la présence de centaines de milliers de soldats américains et son port était embouteillé par l’arrivée d’énormes importations de matériel. Sa prise par les communistes le 30 avril 1975 (chute de Saïgon), marqua la fin du conflit, et les vainqueurs débaptisèrent la ville qui devint Hồ-Chí-Minh-Ville.
Le journaliste et photographe François Sully (1927-1971) vécut 24 ans en Indochine. Il a également beaucoup travaillé sur la Guerre du Viêt Nam, et était éminemment respecté parmi ses pairs. Dans la série de photos ci-dessous, on peut voir la ville de Saigon dans les années 1960.
Pour voir le reste des photos, c’est par ici.
02 lundi Nov 2015
Posted Histoire
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Si la ville de Damas est aujourd’hui dans un état lamentable, ces photographies de Charles W. Cushman, prises dans les années 1960, montrent une autre réalité, celle d’une ville où la vie menait son cours…
30 jeudi Juil 2015
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Ce bureau a été présenté lors d’une exposition en 1969 à Hanovre, et était promu comme l’ordinateur de l’an 2000. Composé de claviers séparés, de deux écrans, d’une caméra et d’une photocopieuse, il n’est pas si éloigné que ça de nos bureaux modernes…
26 mardi Mai 2015
Posted Histoire
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Terrance Gordon Sawchuk, dit Terry Sawchuk, (1929-1970) était gardien de but au hockey sur glace. Avant 1966, les joueurs n’avaient pas d’obligation de porter un équipement protecteur au niveau du visage. En 1966, quand des règles de sécurité ont été mises en place, le magazine Life engagea un maquilleur professionnel pour recréer les blessures subies par le joueur à la tête, durant les seize années précédentes.
Ceci étant, toutes les blessures n’ont pas pu être recrées. Parmi elles, une balafre au globe oculaire (qui lui avait valu 3 points de suture), une invalidité à 70% du bras droit suite au retrait de 60 éclats d’os du coude, et une lordose permanente, conséquence de sa posture courbée en permanence.
02 lundi Mar 2015
Posted Histoire
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Ces photos ont été commandées par l’armée française, qui avait décidé que les « autochtones » devaient avoir une carte d’identité… et ainsi être mieux contrôlés dans leurs déplacements.
Deux-cents portraits par jour. C’est le visage des femmes qui a le plus interpellé le photographe. «
Des portraits tous cadrés à l’identique, tentative de quadrillage des êtres comme on quadrille le terrain. Et en retour, des expressions pleine de défiance, de fierté. Le temps travaillait pour elles.
07 dimanche Déc 2014
Posted Histoire
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Kathrine Switzer a été la première femme à courir le marathon de Boston comme participante enregistrée, en 1967, soit cinq ans avant que les femmes ne soit officiellement autorisées à concourir. Elle s’était inscrite sous le nom a couru sous le nom de « K. V. Switzer », qui ne révélait pas son genre. Le choix de cet identifiant ne résultait pas d’une volonté délibérée de mentir sur son sexe, elle l’utilisait déjà de longue date pour signer les articles qu’elle écrivait pour le journal de son université. L’un des organisateurs officiels de la course, Jock Semple, tenta de la retirer de la course, il aurait crié « Tirez-vous de ma course et donnez-moi ces numéros !« . Mais le partenaire de Kathrine Switzer, Tom Miller, qui courait avec elle, poussa Semple sur le côté, ce qui permit à Katrine de continuer. Les photos de cet incident firent les gros titres dans le monde entier.
À la suite de sa course, la AAU interdit explicitement aux femmes de participer à toute compétition avec des coureurs masculins, sous peine de perdre le droit de concourir. Switzer, avec d’autres femmes coureuses, essaya de convaincre l’association d’athlétisme de Boston de permettre aux femmes de participer au marathon. C’est finalement en 1972 que les femmes eurent pour la première fois le droit de courir officiellement le marathon de Boston.
Texte via wiki
12 samedi Oct 2013
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Ville tranquille et belle, sans sacs de riz sur ses plages ni hommes armés à chaque coin de rue, il n’y a pas si longtemps…
27 mardi Août 2013
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21 jeudi Fév 2013
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En 1967, le professeur William Podlich (Arizona State University) prit un congé sabbatique de deux années pour aller enseigner au sein du Collège des enseignants de Kaboul dans le cadre d’une collaboration avec l’UNESCO. En dehors de ses activités enseignantes, Podlich était un photographe prolifique, et a documenté de façon extensive sa vie quotidienne. Pour mémoire, nous sommes une dizaine d’année avant l’invasion soviétique (1979).
Ce que l’on voit dans ces photos, c’est le témoignage d’un pays moderne, qui semblerait presque oublié quand on voit à quoi ressemble le pays aujourd’hui…
Sur la droite, la fille de Podlich, Peg.
Voyage en bus, de Kaboul vers Peshawar (Pakistan). Peg Podlich est à gauche.
Garde devant le palais royal à Kaboul.
Mr. Bahir (gauche), le vis-à-vis du professeur Podlich au sein du Collège des enseignants de Kaboul, et un professeur afghan (droite). Ce collège formait en deux ans des enseignants de niveau pré-universitaire, situé à l’ouest de la ville.
Retour de l’école pour de jeunes afghanes. Elles étaient aussi éduquées que les garçons. Bien que portant l’uniforme, elles n’étaient pas autorisées à porter la burqua pour se rendre au lycée.
Peg et Jan Podlich dans les jardins Paghman, détruits bien avant l’invasion américaine de 2001.
Jeunes afghans rentrant chez eux.
Jeunes partageant du thé et de la musique.
Deux sœurs posent dans les rues de Kaboul.
Leçon de chimie dans une salle de classe aux murs de boue séchée.
Le stationnement de l’École Américaine Internationale de Kaboul. L’école a disparu depuis 1979. Les anciens élèves communiquent encore via Facebook et se réunissent régulièrement.
Étudiantes du collège des enseignantes.
Enfants dans une cour d’école.
Jan Podlich magasine à Istalif.
On peut consulter de nombreuses autres photos sur le site Internet tenu par le conjoint de Peg Podlich, Clayton Esterson. “Je suis devenu l’archiviste de la famille, et quand Bill Podlich nous a fait dont de sa collection de diapositives, je me suis très vite rendu compte de leur importance historique.” De nombreux afghans commentent d’ailleurs régulièrement ce site, et mentionnent leur gratitude devant le travail de numérisation mené. Source, via.
Suggestion de lecture: Faruq Hotel, récit autobiographique de Christian Pyrgoze, où il décrit son voyage en Afghanistan en 1976. « Un voyage périlleux et cocasse à la fin duquel je me retrouvais momentanément gérant du Faruq Hotel à Kabul pour aider Faruq tombé malade. C’était la fin du mouvement hippy, du moins dans les journaux. Mouvement que j’avais rejoint.On y parle beaucoup de drogue, mais pas que, cela faisait partie de la route. Le Faruq Hotel était notre hotel California. Deux hippies en Afghanistan en 1976. »