Étiquettes
Oh l’étonnant portrait en couleurs, de ces femmes en costumes traditionnels. La photo a été prise près de Salzbourg.
28 lundi Nov 2016
Posted Histoire
inÉtiquettes
Oh l’étonnant portrait en couleurs, de ces femmes en costumes traditionnels. La photo a été prise près de Salzbourg.
09 lundi Mai 2016
Étiquettes
Cette photographie a été prise par Alexander Khimushin, dans le cadre de son projet « Le Monde en Visages« , qui documente toute la beauté du monde au travers de la diversité. Les Wakhis sont un peuple d’Asie centrale qui parle le wakhi, une langue iranienne du Pamir fortement influencée par le tadjik. On les trouve essentiellement dans le corridor du Wakhan en Afghanistan ainsi qu’au Tadjikistan, au Pakistan et au Xinjiang en République populaire de Chine.
04 mercredi Mai 2016
Posted Histoire
inÉtiquettes
Ces photographies furent prises par Augustus Frederick Sherman, officier de l’immigration à Ellis Island au début du 20ème siècle. Ces immigrants étaient en rétention administrative, pour des raisons médicales ou autres. Certains d’entre eux furent autorisés à entrer, d’autres furent remis sur un bateau pour repartir d’où ils venaient. Pour prendre ces photos, Sherman demandait aux gens de sortir leurs habits traditionnels des malles qu’ils transportaient avec eux. Et c’est ainsi que plus de 200 portraits furent pris.
Afin de les rendre plus vivantes, le magazine Time a demandé à Sanna Dullaway d’en coloriser une sélection.
18 vendredi Mar 2016
Étiquettes
La civilisation zapotèque était une civilisation amérindienne précolombienne qui s’est épanouie dans la vallée de Oaxaca au sud de la Mésoamérique. Le photographe Deigo Huerta se passionne pour les descendants de cette civilisation, dont il tire des portraits tous plus colorés les uns que les autres.
09 lundi Nov 2015
Posted Histoire
inÉtiquettes
On est encore loin de la silhouette qui fera sa réputation…
04 vendredi Sep 2015
Posted Insolite
inHelen Van Winkle, aussi connue sous le nom de « Baddie Winkle » a 87 ans. Et pfiou, faut la suivre, parce que c’est pas l’énergie qui lui manque. Et en plus, à son âge, elle a décidé qu’elle ferait bien ce qu’elle voulait, surtout en matière de vêtements, que ça plaise au monde ou pas. Plus d’1.5 million de personnes la suivent sur Instagram, et l’aiment comme elle est. Ce portrait est celui d’une femme qui donne envie de vieillir et de faire ce qu’on aime. D’ailleurs, on ne devrait pas attendre d’être vieux pour ça.
24 lundi Août 2015
Posted Arts et graphisme
inÉtiquettes
Réhahn est un photographe français installé au Vietnam. C’est en 2007, à l’occasion d’un séjour avec une ONG, qu’il est tombé amoureux de ce pays. Il y retourne chaque année, pour explorer le peuple et ses cultures, et en 2011, il s’installe à Hoi An. Depuis toutes ces années, après avoir pris 40.000 clichés, parcouru le quart du pays à mobylette, il a publié son premier ouvrage Vietnam – Mosaic of Contrasts et Children of Vietnam. Voici une sélections de ses photos. Cliquez ici pour voir le reste.
22 mercredi Avr 2015
Posted Arts et graphisme
inLe photographe allemand Eric Schuett a réalisé une série de portraits intitulée Les Reines du Village, dans laquelle il témoigne du style de vie des dernières femmes vivant dans les communautés rurales allemandes, des femmes qui portent encore le costume traditionnel.
Engel Marie Meier, Schaumburg, 2011
Ce photographe a toujours été passionné par l’histoire. Et c’est en étant à la recherche des métiers traditionnels dans des régions reculées qu’il est tombé sur elles, par chance. Pendant plus de dix ans, il a travaillé au sein d’un écomusée dans le sud de l’Allemagne. Mais rien ne l’avait préparé à rencontré Maria Anna Griessbaum, une nonagénaire habitant la Forêt Noire.
Maria Anna Griessbaum, Forêt Noire, 2009
A la voir vêtue de manière traditionnelle, il s’est retrouvé catapulté dans le passé. Après avoir entendu ses histoires, il s’est progressivement retrouvé à élaboré ce projet, et photographier ces femmes. Elles sont le témoignage d’une époque qui mourra avec elles.
Luise Ketterer, Forêt Noire, 2012
Beaucoup furent réticentes à se laisser photographier. Mais d’autres l’accueillirent bien volontiers dans leurs demeures, qui, bien souvent, étaient dans leurs familles depuis des générations.
Parce qu’elles ne sont plus très jeunes, la plupart passent leurs journées à la maison, à se reposer, faire des tâches ménagères, ou s’occuper de leurs jardins. Parfois, elles sont aidées par un membre de leur famille pour s’habiller. Leurs tenues reflètent un tas de choses: l’âge, le statut marital, l’origine, la religion, la classe sociale. Il y a des tenues différentes selon les occasions, comme des mariages, funérailles, fêtes religieuses, etc.
C’est au milieu du 20ème siècle que les habitudes vestimentaires des femmes commencèrent à changer en Allemagne. Et de nos jours, il est très rare d’en trouver arborant le costume traditionnel, même dans les coins perdus. Certaines ont continué faute de moyens pour s’acheter des vêtements récents. D’autres par habitude. Mais il suffirait d’un rien pour qu’elles cessent: la maladie, l’incapacité progressive à se vêtir…
Anna Pawelczyk, Schaumburg, 2010
Depuis le début du projet, beaucoup sont décédées. Ces photographies témoignent de façon respectueuse de leur mode de vie.
Anna Katharina Suessmann en habit de deuil, Hesse, 2011.
Source (cliquez pour en voir d’autres).
23 lundi Mar 2015
Posted Insolite
inÉtiquettes
Le photographe Marco Vernaschi a réalisé une série de clichés sur les différentes identités qui composent l’Argentine.
Belén Cruz fait partie des Samilantes, un groupe au sein de la communauté Quechua. Son costume de plumes représente le nandou, l’oiseau sacré des Suris.
Hugo Martínez pose avec son coati. La communauté Guarani Jasy Pora vit près de la frontière brésilienne. Leurs noms espagnols reflètent le passé colonial du pays.
Dario González et son fils appartiennent au groupe « Los Diablos », au sein des Quechuas. Les Diablos croient que le diable peut à la fois maudire et protéger.
La plupart des membres de la communauté Mapuche sont des chasseurs, comme Salvador Quintriqueo (assis) est son fils, Ricardo.
Les demeures des Mapuche homes, comme celle de Marita Andreau (debout, avec son amie Rosa Andreau), ne possèdent ni électricité ni eau courante.
Pour voir le reste des photographies, c’est par ici.
02 lundi Mar 2015
Posted Histoire
inÉtiquettes
Ces photos ont été commandées par l’armée française, qui avait décidé que les « autochtones » devaient avoir une carte d’identité… et ainsi être mieux contrôlés dans leurs déplacements.
Deux-cents portraits par jour. C’est le visage des femmes qui a le plus interpellé le photographe. «
Des portraits tous cadrés à l’identique, tentative de quadrillage des êtres comme on quadrille le terrain. Et en retour, des expressions pleine de défiance, de fierté. Le temps travaillait pour elles.